Les stigmates du traumatisme facial violent se situeraient finalement sur le côté de la tête et révèleraient que le petit garçon a reçu un coup violent, éventuellement porté avec un objet.
S'il a été touché à la tempe, c'est potentiellement un coup mortel.
Yannis en 1989 et Emile en 2023 : les deux petits garçons avaient joué dans une cabane et allaient voir des animaux, les chiots du voisin pour l'un et les lapins près du lavoir pour l'autre. Au moment de leur disparition, ils déambulaient seuls.
En général, les éleveurs n'aiment pas beaucoup voir des enfants s'approcher de leurs animaux.
Et l'hypothèse d'un choc avec un véhicule ou un engin agricole quelconque n'est toujours pas totalement exclue.
Le corps aurait pu ensuite être conservé dans un congélateur.
P.S.: Il y aurait depuis longtemps des voyous dans le secteur du Vernet (voir article ci-dessous).
Le Vernet est une commune par ailleurs très touristique qui a vu naître, notamment, un médecin de Napoléon Ier, un aliéniste de l'Hôpital royal de Charenton et un postier membre fondateur de la CGT portant tous le nom de Bayle et a aussi connu sous le Second Empire une expérience originale d'élevage de yacks du Tibet :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Vernet_(Alpes-de-Haute-Provence)
Localisation
Le village du Vernet est situé dans la vallée du Bès à 1 200 m d’altitude[2] entre Digne-les-Bains au sud et le lac de Serre-Ponçon, au nord. Sa population dépasse tout juste les 100 habitants permanents, mais elle est souvent plus que doublée chaque hiver et chaque été, où la commune devient alors la base de départ d'excursions touristiques, notamment dans la vallée de la Blanche, ainsi qu'un lieu de départ pour les stations de ski proches (Le Grand-Puy, Saint-Jean-Montclar, Chabanon).
La commune compte deux villages principaux : le Haut-Vernet, situé en altitude, et le Bas-Vernet.
Personnalités liées à la commune
- Le Dr Gaspard-Laurent Bayle (1774-1816), médecin de Napoléon Ier, pionnier de l'auscultation immédiate et maître de Laennec, il aurait le premier décrit le procédé d'utilisation d'un stétoscope. Auteurs d'ouvrages sur le cancer. Son petit-fils, Charles Bayle (1842-1918), vice-amiral, commandant de la flotte d'Extrême-Orient, grand-officier de la Légion d'honneur.
- Antoine Laurent Bayle (1799-1858), aliéniste à l'Hôpital royal de Charenton, docteur en médecine, professeur agrégé à la faculté de médecine de Paris, ayant le premier décrit la paralysie générale (Maladie de Bayle)
- Denis Bayle (1856-1944), employé des postes, membre fondteur de la CGT, organisateur des grandes grèves postales à Gap en 1904-1906
- Louis Bayle (1858-1923), membre du Corps expéditionnaire en Tunisie.
- Prosper Demontzey (1831-1898), ingénieur des Eaux et Forêts, qui a expérimenté et mis en œuvre les techniques de reboisement en montagne et de la lutte contre l'érosion des torrents (lui sont dédiés un monument au col du Col du Labouret et, sur la commune, tout un parc arboré dédié au reboisement en terrain de montagne).
Second Empire

Sous le Second Empire, une tentative d'acclimatation et d'élevage du yack du Tibet fut effectuée au Vernet pendant une dizaine d'années, à l'initiative de Charles de Montigny, consul de France à Shanghai par l'intermédiaire de la société impériale d'acclimation[32]. Quelques reproducteurs mâles et femelles furent convoyés au village pour y être élevés par des agriculteurs locaux. Certains animaux furent confiés à Etienne Monnier, agriculteur et éleveur au Haut-Vernet[33]. Le ministre de l’Instruction Publique, soucieux du progrès rural, fit un proposition au préfet des Basses-Alpes en avançant cet argument :
« Ces animaux, originaires du Tibet, possèdent des qualités qui rendent très précieuse leur introduction dans notre pays, au double point de vue de l’agriculture et de l’industrie. Ils peuvent être très utilement employés comme bêtes de somme ou de trait, et devenir ainsi un excellent auxiliaire de l’habitant des montagnes. »
Il y eut aussi des tentatives de métissage avec des vaches locales. le résultat fut décevant et l'opération arrêtée. Les spécimens survivants furent vendus [34].
Napoléon Ier, Tibet, CGT... Hum...
Ce ne serait pas encore un coup du pédocriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi ?
A lire ou à relire :
http://satanistique.blogspot.com/2023/07/disparition-du-petit-emile-au-vernet-sa.html
http://satanistique.blogspot.com/2023/07/disparition-de-petit-emile-au-vernet.html
http://satanistique.blogspot.com/2023/07/disparition-du-petit-emile-au-vernet.html
http://satanistique.blogspot.com/2023/08/la-famille-du-petit-emile-disparu-deja.html
https://satanistique.blogspot.com/2023/08/disparition-demile-des-precedents-dans.html
https://satanistique.blogspot.com/2025/03/affaire-du-petit-emile-soleil-un.html
https://satanistique.blogspot.com/2025/03/de-lenvironnement-de-yannis-more.html
Au Vernet, c'est tout un village qui est bouleversé
Par La Provence
Digne-les-Bains
Au lendemain de l'agression qui a coûté la vie à la gérante du Café du Moulin
C'était une sainte femme!", confie avec une émotion non dissimulée François Balique, le maire du Vernet, revenu par le premier vol de Guyane où il se trouvait pour des raisons professionnelles. C'est un véritable drame pour tout le village qui aura du mal en s'en remettre!" Dans la petite bourgade située sur la route du ski et où résident à l'année une centaine d'habitants, toute la population était hier matin sous le choc de "cette effroyable tragédie que nul ne pouvait prévoir", tel que le confie une habitante les yeux remplis de larmes. Tous se souviennent de Jeannette Grosos, de sa bonté: "Elle était la gentillesse incarnée!", assure cet autre habitant qui n'aurait manqué pour rien au monde le repas des aînés du Vernet, organisé vendredi dernier dans cet établissement qu'elle chérissait tout particulièrement. "Avec sa famille, c'était toute sa vie!", ajoute une estivante qui ne peut contenir ses sanglots à l'évocation des faits et de la violence avec laquelle le jeune homme a frappé la victime. "Il parait qu'il s'est acharné sur elle… pourtant il n'a jamais donné l'impression d'être dangereux", déclare cette retraitée qui l'a souvent pris en stop, à l'instar de nombreux autres habitants ou estivants, sans jamais rencontrer le moindre problème.
L'été dernier, il avait d'ailleurs travaillé à la piscine sans que l'on ait visiblement à se plaindre de ses services. "C'est dramatique pour ses parents, un couple d'enseignants qui travaille sur Digne et qui s'est toujours bien occupé de lui", estime ce villageois sans toutefois excuser le geste de Geoffroy, que d'aucuns considéraient comme "le simplet du village". Loin d'imaginer un seul instant, le drame de lundi qui plonge dans le désarroi toute une population qui se pensait à l'abri d'un tel acte… D'ailleurs, beaucoup se refusent encore à croire à la culpabilité du jeune homme. "Vous savez, il y a des voyous dans le secteur et beaucoup de passage devant le café", pouvait-on entendre avant que la nouvelle des aveux du jeune homme ne vienne, en fin de matinée, couper court à toute rumeur. En bordure de la RD 900, sur la rive droite du Bès, le café du Moulin est resté fermé. Et la famille de Jeannette Grosos, prostrée dans la douleur, l'incompréhension… et aussi la colère.
Suivi pour schizophrénie
Hier en fin de matinée, l'agresseur présumé de Mme Grosos a avoué aux gendarmes de la brigade de recherches, épaulés par leurs collègues de la SR de Marseille, être l'auteur des coups mortels. "Il a indiqué que depuis quelques jours, il ne se sentait pas bien et avait augmenté les doses de médicaments prescrites par son psychiatre", précise Stéphanie Giraud, substitut du procureur de la République avant d'évoquer les faits."Il dit qu'il a lutté pour ne pas lui faire du mal, il sentait qu'il était en crise. Il n'a pas pu résister et s'en est pris à elle violemment sans aucun mobile."
Après avoir frappé par surprise Mme Grosos qui faisait des mots croisés sur la terrasse, à l'aide d'une bouteille en verre, il l'aurait ensuite traînée dans la salle du bar pour la frapper de nouveau plusieurs fois avec une autre bouteille. "Il a d'abord parlé d'un cocktail qui lui aurait été refusé par la victime, puis a reconnu avoir menti à ce sujet. Depuis il n'est toujours pas capable d'expliquer son passage à l'acte!", ajoute la substitut à propos de ce jeune homme de 21 ans, traité pour schizophrénie et suivi par l'hôpital psychiatrique de Digne où il se rendait au moins tous les quinze jours pour "une injection dans le cadre de son traitement."
Après la prolongation hier de sa garde à vue, il est déféré au parquet d'Aix-en-Provence cet après-midi où après l'ouverture d'une information criminelle, il sera présenté à un juge du pôle d'instruction qui décidera de la suite à donner à ce dossier. C'est aussi à Aix-en-Provence que sera prise dans la foulée la décision de son éventuelle incarcération dans l'attente d'une expertise psychiatrique "pour dire s'il est ou non responsable de ses actes", conclut Mme Giraud.